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Biodiversité à Mennecy (Essonne)

Biodiversité à Mennecy (Essonne)
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13 décembre 2022

Le chantier du grand frais fait du chaud

Depuis des mois, le chantier du magasin Grand Frais est alimenté par un groupe électrogène fonctionnant au diesel. Des fumées épaiessent s'en dégagent. Les quelques piétons et cyclistes respirent les particules fines (cancérigènes). Par ailleurs, c'est un pied de nez au générations futures. Notons aussi que la CCVE a un plan climat...

Lutter contre le dérèglement climatique - CC Val d'Essonne

Projet territorial de développement durable, un Plan Climat Air Energie Territorial (PCAET) prend en compte l'ensemble de la problématique climat-air-énergie autour de plusieurs axes d'actions

https://valessonne.fr

Blablabla ... pour citer Greta Thunberg ....

 

 

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10 novembre 2022

Défrichement en pleine période de nidification

 

 

J'avais alerté la Mairie de Mennecy et la CCVE sur l'importance du respect de la période de nidification sur les terrains constructibles de la AC Montvrain II. J'avais même eu une réponse des servcies de la CCVE dans lequel l'engagment avait été pris de ne pas faucher les terrains en pleine période de nidification.

Cet engagement a été respecté sur le terrain sur lequel un gymnase est en train d'être construite par la CCVE.

 

En revanche, le terrain situé en face (parcelles 850, 926, 927), sur lequel le groupe GRAND FRAIS construit un magasin a été fauché et complètement retourné EN PLEINE PERIODE DE NIDIFICATION, à savoir entre le 22 et le 23 juin 2022. Je n'oublierai jamais les cris des parents Hypolaïs polyglotte qui appelaient leurs petits qui devaient se trouver ecrabouillés sous une tonne de gravats. 

 

Etat de la friche le 15 juin 2022 - lieu de nidification du Tarier pâtre, de l'Hypolaïs polyglotte, Bruant jaune, Fauvette grisette, du Troglodyte mignon et certainement d'autres. En effet, les oiseaux adorent les terrains en friche car il y a beaucoup de cachettes dans les buissons et les ronces et beaucoup de nourriture. 

 

 

 

Photos su 23 juin 2022

 

C'est un scandale parmi d'autres. Une preuve que nos élus ne sont pas à la hauteur des enjeux en termes de protection de la biodiversité. Les petits pas et les petits gestes ne suffiront pas, hélas. 

 

 

10 novembre 2022

Mobilités pas si douces...

 

Le 24 mai 2022, j'ai alerté la mairie sur la dangerosité du carrefour entre la D153 en direction de Chevannes et le Boulevard de la Verville (en direction du centre commercial).

 

Je n'ai pas eu de réponse.

 

Depuis, j'ai vu en direct une situation critique où un cycliste n'a pu éviter l'accident qu'en se jetant sur le côté. Le nombre de fois, où j'ai dû freiner brusquement pour éviter de me faire renverser, je ne les compte plus. Le non-respect des cyclistes et piétons à ce carrefour est devenu quasiment systématique. Mais il faut dire aussi que les feux de ce carrefour sont mal accordés. 

 

Mon courrier de 24 mai 2022 à la Mairie de Mennecy

 

 

ce mardi matin (24/5), j’ai assisté à un accident entre une voiture et une cycliste au niveau du feu rouge situé au carrefour entre le boulevard de la Verville et la D153 (entre 10h45 et 11h15).

Ce carrefour est TRES dangereux (et a été identifié comme tel dans le diagnostic). Depuis des années, je crains me faire renverser par une voiture. Ce matin, ce n’étais pas moi mais une autre cycliste (que je mets en copie de ce courrier). L’accident s’est passé fort heureusement sans trop de dégâts, mais le shoc est toujours grand. Cet accident devrait être un signe d’alerte: si rien n’est fait, un jour, il y aura un accident grave, voir mortel. Ce n’est pas une question de ‘si’ mais de ‘quand’.

La problématique est la suivante et se pose dans la configuration suivante :

Un/e cycliste vient du centre ville sur la piste cyclable et souhaite traverser le boulevard de la Verville en direction de Chevannes. Il/elle s’arrête au feu rouge pour les cyclistes (ou au niveau du feu rouge pour les piétons).

Les automobilistes en direction de Chevannes ont le feu rouge. Une flèche clignotante indique que les automobilistes de la voie de droite peuvent tourner à droite. Ils le font en général avec grand élan.

Actuelle phase une :

 

La plupart ne pensent pas à une traversée éventuelle de pitons ou de cyclistes. Car, en effet, au début de la phase du clignotant jaune, les pitéons et cyclistes ont le feu rouge. Mais au bout de quelques secondes (peut-être une bonne minute), le feu pour les automobilistes venant de la Verville et tournant à gauche passe au rouge. Ils s’arrêtent. A ce moment-là, précisément, le feu pour piétons et cyclistes passe au vert. Le piéton ou cycliste s’avance. MAIS la phase du clignotant jaune n’est pas terminée. Desautomobilistes  retardaires souhaitant tourner à droite peuvent toujours tourner à droite et ne s’attendent pas à ce que la flèche jaune s'accompagne d'un feu vert pour piétons. Pour traverser le passage piéton (à pied ou à vélo), il faut se lancer en faisant preuve de courage et de militantisme. Car il y a aussi tous ceux et celles qui ne souhaitent tout simplement pas accorder la priorité aux piétons et cyclistes.

Actuelle phase 2

(Les voitures venant du Bd de la Verville ont le feu rouge)

 

La solution la plus simple, en attendant un réaménagement complèt de cette zone (qui comporte d’autres difficultés), serait de faire coïncider la phase rouge pour automobilistes venant de la Verville et tournant à gauche avec l’arrêt du clignotant jaune pour les automobilistes venant du centre ville souhaitant tourner à droite.

Il y aurait une phase ‘cligontant jaune’, couplée au feu vert pour le boulevard de la Verville, couplée au feu rouge pour les pitéons suivie d’une phase arrêt complèt pour le boulevard de la Verville et la route de Chevannes couplée au feu vert pour les piétons et cyclistes.

Une autre difficulté est d’ailleurs la peinture au sol. On ne sait pas trop, où le cycliste doit passer.

Solution – à la place de la phase 2 actuelle :

 

En vous écrivant à la hâte (sans relecture !),  j’aimerais donner l’occasion aux services concernés de visionner la vidéo captée par les caméras. C’est infiniment plus parlant qu’une explication verbale.

 

Respectueusement et bien cordialement,

6 février 2022

Les aménagements dits "paysagers"

Lors des aménagements d'espaces verts les municipalités, aménageurs et paysagistes ne semblent plus pouvoir se passer de plastique. Pourtant, il me semble que l'on devait en réduire l'usage...

La plastification des sols, même en plantant par la suite des plantes dans des trous est une forme d'artficialisation des sols qui devrait être interdite de toute urgence. Sous les bâches plastiques la vie du sol se meurt (moins de bactéries, moins de champignons, de collemboles de vers de terre ...). Il ne peut y avoir une terre saine sous une bâche plastique. L'eau s'infiltrera moins dans le sol et devra donc être évaquée ailleurs.

Le plastique qui est souvent cachée dans un premier temps, réapparaît quasiment toujours sous forme de lambeaux déchirés ....enfin ... pendant des millions d'années les plantes ont poussé sans bâche plastique. Pendenat des centaines d'années, les jardiniers ont réussi à créer des aménagements paysagers sans plastique ...

 

Aménagement d'un espace partiellement végétalisé avec décoration en pierres blanches sur bâche plastique (blanche) à la Croix champêtre, route N191

 

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Plastification du sol sur le nouveau parking de l'Aquastade (février 2022)

IMG_20210214_101010Plastification des buttes aménagées autour du centre commercial de la Verville (2020?)

 

 

6 février 2022

Enquête publique

Une enquête publique est en cours concenant la Plaine Saint Jacques. Pour ma part, impossible d'en savoir plus car le site de la Préfecture de l'Essonne semble en proie à un cheval de Troie. C'est la deuxième ou troisimè enquête publique qui reste un mystère ... Je n'ai pas le temps, ni l'envie, d'aller consulter sur place ...La présence d'un cheval de Troie (donc d'un programme malveillant) sur un site institutionnel est nquiétant. Il est encore plus inquiétant que cela dure depuis des mois. Et cela empêche un certain nombre de citoyen.nes de s'exprimer ....

 

 

 

 

 

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28 janvier 2022

Les dernières friches de la ZAC Montvrain II vont disparaître

Les derniers terrains en friche de la ZAC Montvrain II sont voués à la disparition. L'artficialisation des sols se poursuit ainsi à Mennecy et ailleurs sans tenir compte de l'urgence absolue sur plan climatique et sur le plan de l'érosion de la biodiversité. 

On continue à appliquer les plans et programmes d'il y a dix ans et plus sans ajustement au regard des constats alarmants récents. Les élus ne tiennent pas non plus compte de l'évolution de la biodiversité des terrains constructibles.

En effet, un terrain agricole, destiné à l'urbanisation mais laissé en friche pendant quelques années, se transforme en un endroit riche en biodiversité. 

C'est le cas des deux terrains qui se situent à droite et à gauche de la bretelle menant du rond point de la déviation de la D153 vers la ZAC Montvrain II. Celui de gauche devra accueillir un magasin de surgelés. Celui de droite devra accueillir une installation sportive de la CCVE. 

Friches Montvrain II

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les deux terrains se sont transformés en habitat du type 'milieu ouvert, friche' et accueillent donc plusieurs espèces d'oiseaux dont le Tarier pâtre. Des photos du Tarier pâtre peuvent être consultées dans la photèque de la LPO Ile-de-France.

https://lpo-idf.fr/?pg=ph&tx=1&Adj=&Ref=&Motcle=&Ordre=+&Francais=Tarier+p%C3%A2tre&Auteur=+&Famille=+&Latin=&Motcle=&page=5

 

Phototèque tarier

 

Le comportement des oiseaux (présence de mâles et femelles, agitation en cas de dérangement, activité en période de reproduction) indique une nidification probable. L'effectif en France a été estimé à 400 000 à 800 000 couples au début des années 2000. Le Muséum de l'Histoire Naturelle estime le nombre de couples actuellement à 250 000 à 500 000. Cette espèce est en en déclin. 

 

En Ile-de-France, on estimait le nombre de couples autour de 4000 en en 2013 (Atlas des oiseaux nicheurs d'Ile-de-France 2009-2014). NaturEssonne estime dans son atlas de le nombre de couples en Essonne à 300 à 800 pour la période de 2004 à 2013. Mon estimation personnelle, sans prétention scientifique, est d'une dizaine de couples sur la plaine agricole entre les ZACs de Montvrain II, celle des Haies Blanches, l'aqueduc, Chevannes et le chemin agricole qui jouxte la commune du Coudray-Monteceaux. 

Il s'agit d'une espèce protégé et est classée NT (quasi menacée) sur la liste rouge nationale et VU (vulnérable) en Ile-de-France. Par ailleurs, il s'agit d'une espèce determinate ZNIEFF...

 

J'ai signalé la présence de cette espèce à la CCVE.

Il faut en effet éviter de démarrer les travaux sur ces terrains en période de nidification. Les couples commencent à occuper les territoires dès le mois de février. Les premières pontes peuvent avoir lieu au mois de mars. 

Inutile de croire que l'espèce se remettra de la disparition de son habitat. En adapatant le défrichage à la phénologie de l'espèce on évitera tout juste la destruction d'oeufs et d'oisillons (interdite par la loi et très cruelle). Mais le nombre de couples nicheurs dans un périmètre donné dépend de la nourriture disponible et des possibilités de nidification. Mais tous les territoires sont déjà occupés...C'est pour cela qu'il y a de moins en moins d'oiseaux. 

La "compensation" telle qu'elle est pratiquée en ce moment (taxes prélévée permettant l'achat de terrains ailleurs par le Conseil général) permet le maintien d'une biodiversité existante à d'autres endroits. Les couples de Tariers pâtres ne pourront pas déménager et investir ces terrains puisqu'ils existent déjà et ont leur population d'oiseaux locale déjà installée.

La seule véritable mesure compensatoire serait de transformer des zones goudronnées ou engazonnées en friche ce qui serait parfaitement possible. La ZAC Montvrain II a actuellement trois accès, don deux viennent du Sud. Une pourrait être supprimée... ce serait déjà pas mal.... 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

8 janvier 2022

LE FLEAU DES JARDINS EN PIERRE

 

Depuis quelques années, on voit se transformer de plus en plus de parterres fleuris en déserts de pierres. Est-ce pour des raisons esthétiques? Ou bien par confort? En effet, plus besoin de tondre le gazon ou d’arrâcher les « mauvaises herbes ». Une bâche plastique cachée sous les pierres étouffe toute forme de vie. Si des fois quelques mousses osent encore s’installer ça et là, elles seront vite traitées aux produits chimiques.

Pourtant, les associations pour la protection des de l’environnement n’avaient cessé de souligner l’importance des jardins pour la faune et la flore. La LPO vient de fêter les 100 ans des jardins Refuges LPO.   

En Allemagne, où cette mode s’est également développée, le législateur a tranché. L’aménagement de jardins en pierre est désormais interdit dans le Baden-Württemberg. Là, où la région ne prend pas de mesures, ce sont les villes qui interdisent à travers leurs PLUs ces aménagements : Dortmund, Paderborn, Brême et d’autres l’ont déjà fait. D’autres encore suivront.   

En effet, les sols ainsi artificalisés se rajoutent aux terres perdues pour cause de construction de centres de logistique, magasins hard-discount et de parkings.

Les jardins et espaces verts doivent rester le plus acceuillant possible pour le développement de la faune et de la flore sauvage. Nous n’avons plus de temps à perdre…  

 

Jardin en pierre en Allemagne

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.  Parterre fleurie à Versailles.

 

 

Aménagement d’un parterre pas fleuri à Echarcon

 

Les arguments contre les jardins en pierre :

-        très peu de végétation au mètre carré car des plantes isolées sont préférées

-        absence de fleurs et herbes sauvages, donc absence de plantes nourricières pour les chenilles et autres insectes

-        impossibilité pour les abeilles sauvages de creuser des nids

-        disparition de toute forme de vie sous la bâche (pas de vers de terre, pas de collemboles, vers luisants etc.)

-        gestion des déchets plastiques lors du renouvellement de la bâche

-        utilisation de produits chimiques pour que les pierres restent propres

-        absence totale de sources de nourriture pour les oiseaux, hérissons et tout autre animal

-        absence totale de possibilité de nidification pour les oiseaux

-        création d’ilôts de chaleur

-        accumulation de poussières 

20 décembre 2021

L'hiver 2021 des hérissons

IMG_20211130_132610 Hérisson retrouvé mort fin novembre 2021 rue Paul Cézanne, tête orientée vers le bois. 

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Selon mes observations et les échanges avec d'autres, les hérissons n'hibernent pas comme d'habitude. Normalement, il devraient dormir profondément en ce moment. Or, on en voit toujours arriver dans les centres de soins et d'autres écrasés sur la route. A Mennecy, j'ai vu déjà deux hérissons morts sans blessure apparente, dans des zones résidentielles (Rousset et Verville). Est-ce qu'ils ont été dérangés par les souffleuses de feuilles ? Un réveil forcé pendant l'hibernation est un processus très épuisant pour un hérisson. Par ailleurs, une fois réveillé, il ne trouve pas forcément beaucoup à manger en ce moment et peut donc finir par mourir de faim. Notons aussi que lorsqu'un un hérisson est dérangé, il doit chercher d'urgence un autre endroit pour faire un nouveau nid. Mais quand on regarde bien ... beaucoup de jardins sont clôturés. Les hérissons ne peuvent pas y accéder. En dehors des jardins, la végétation et donc la présence d'insectes est tellement pauvre, qu'il s'agit de déserts pour le hérisson.

 

 

 

 

 

Hérisson mort, vu sur l'espace vert de l'AFUL des Myosotis, du côté de la rue des Coquelicots.  A mon avis, il a été dérangé par des travaux de jardinage et n'a pas pu rejoindre un jardin car, on dirait, qu'il sont tous inaccessibles...C'est la deuxième fois qu'on y trouve un hérisson. Le dernier était encore vivant, a été transporté en centre de soins, mais n'a pas pu être sauvé...

11 décembre 2021

L'ancien terrain de la DGAC

 

Voilà une bonne nouvelle!

 

Le terrain de la DGAC sera géré en tenant compte de la biodiversité très riche de ce lieu. C'est infiniment mieux que d'en faire un terrain pour les gens du voyage, un site d'acceuil touristique ou des lotissements. 

La zone de nidification de la Locustelle tâchetée se situe dans la zone vert foncée ... ouf. 

 

 

Bois des folies : bientôt une nouvelle ferme Terre de Liens en Île-de-France !

L'acquisition du site Bois des Folies à Chevannes (91) est un projet d'envergure pour Terre de Liens en Île-de-France. Ce site d'une centaine d'hectares, actuellement en friche, accueillera des activités diversifiées de polyculture et d'élevage.

https://www.terredeliens-iledefrance.org

 

9 novembre 2021

La pollution lumineuse

A Mennecy, les éclairages publiques restent allumés toute la nuit. On nous a expliqué que c'était pour des questions de sécurité. 

La pollution lumineuse génère une perte notable d'insectes volants. En effet, ils s'épuisent en tournant autour des lampadaires. La biodiversité diminue car pas tous les insectes réagissent de la même manière. C'est pareil pour les chauve-souris. Certaines espèces profitent des lampadaires, d'autres les fuient et ne trouvent plus assez à manger.

La diminution de l'éclairage nocturne est une nécessité dans la lutte contre la perte de la biodiversité. 

L'ARB propose une rencontre technique pour accompagner les les élus. 

Rencontre technique "Trame noire et biodiversité"

L'ARB îdF vous invite à une journée d'information, de témoignages et d'échanges sur le thème " Trame noire et biodiversité". Elle se déroulera en présentiel à la préfecture de Région Île-de-France, 5 rue Leblanc à Paris et en distanciel par visioconférence.

https://www.arb-idf.fr

 Sous ce lampadaire, situé rue du Champoreux, un papillon de nuit épuisé se trouvait sur le trottoir. Une victime de la pollution lumineuse.

On ne voit quasiment jamais tous les insectes morts épuisés car il y a des rongeurs et d'autres animaux (dont des insectes d'ailleurs) qui doivent les récupérer. En revanche, dans certains boules en verre, non-étanche, on peut voir des masses brunâtres. Il s'agit de centaines, milliers(?) d'insectes piégés en raison d'un manque d'étanchétité des lampes. 

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Cossus cossus - Weidenbohrer - Cossus gâte-bois

 

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